Grand Bonheur

Un film de Hervé Le Roux

Grand Bonheur

Un film de Hervé Le Roux

France - 1993 - 160 min

Paris. L'été. Désert.


Ce rare moment où la ville semble pouvoir être encore le théâtre de tous les possibles...


Entre le bal du 14 juillet et l'arrivée du Tour de France, une bande d'étudiants "prolongés" se défait, une troupe de comédiens monte une opérette.

Avec :
Philippe Morier-Genoud , Charlotte Léo , Pierre Berriau , Christine Vouilloz , Lucas Belvaux , Marilyne Canto , Nathalie Richard , Olivier Cruveiller , Laszlo Szabo , Fabienne Pahud , Benoît Régent , Eva Ionesco , Arielle Dombasle et Rosette

Sorti le 24 novembre 1993

Sortie non communiquée

À propos de Grand Bonheur

Un film d'amoureux : un amoureux de la vie, tendre, délicat, attentionné, Hervé Le Roux qui nous émeut aux larmes à travers les milles et un destins de son petit peuple de comédiens : Paul, Philippe, Charly, Luc, Nanou, Bernard, Judith, Caroline, Jean-Paul, Georges et tous les autres… on se prend à les aimer, à partager leurs joies, leurs gags mais aussi leurs errements, leurs folies, à se laisser emporter dans le feuilleton subtil des liens que nouent et dénouent cette petite bande éperdue d'amour qui décidément pas à accepter l'âge adulte. Qui rêve trop l'amour pour supporter d'atterrir : se caser, vivre en couple, avoir une situation… Alors vive « Les chevaliers du ciel », vive le cinéma dernier refuge, dernier espoir insensé.

Jean-Pierre Thorn

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Cinéaste


Paroles de cinéastes

À propos de Grand Bonheur

L'opérette, le calembour, le mauvais esprit élevés au rang des beaux-arts… c'est le Grand Bonheur d'Hervé Le Roux, un film réjouissant où les personnages ont l'esprit frondeur des premiers films de la Nouvelle Vague.

Danièle Dubroux

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Cinéaste


Paroles de cinéastes

À propos de Grand Bonheur

Malgré les pièges du propos « méta » (de l'art sur la vie de l'art vivre), malgré les accrochages du jeu et des différents temps (une amitié de longue date arrive en fin de parcours le temps d'un été parisien coincé entre départ et arrivée du Tour de France qui dure 2h40), le bonheur finit par imprégner cette bande (de pellicule) non-névrotique. Comme le bonheur, elle coule d'une source que les personnages ni le réalisateur ne cherchent à assécher, à maîtriser « à mort ». C'est ce défi, rarissime à une époque de satisfaction « sur place », de laisser naître une vie propre au film que celui-ci lance au grand bonheur du spectateur.

Paul Verstraten

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Cinéaste


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