Un Violent désir de bonheur

Un film de Clément Schneider

Un Violent désir de bonheur

Un film de Clément Schneider

France - 2018 - 75 min

1792, au cœur de la Révolution Française. Isolé dans l’arrière-pays montagneux, loin de l’épicentre des événements, le couvent du jeune moine Gabriel est occupé et réquisitionné comme caserne par une troupe de soldats révolutionnaires et la jeune femme silencieuse qui les accompagne : Marianne. 
Une cohabitation forcée entre moines et soldats s’ensuit, qui ne laisse pas Gabriel indifférent aux idées nouvelles.


1792. Far from the epicentre of the French Revolution, the monastery of young monk Gabriel is requisitioned by the revolutionary troops to serve as barracks. The new ideas Gabriel discovers through the forced cohabitation between monks and soldiers don't leave him indifferent.

Avec :
Quentin Dolmaire , Grace Seri , Francis Leplay , Franc Bruneau , Vincent Cardona et Ilias Le Doré

Sorti le 26 décembre 2018

Sortie non communiquée

A propos de Un violent désir de bonheur

Ce film, bien qu'il semble au premier abord en prendre le chemin, ne raconte pas un fait historique précis. C'est un conte. Un conte philosophique qui convoque d'un même trait aspirations spirituelles, aspirations sociétales, et aspirations sensuelles, soit quelques-uns des principaux fondements du vivre-ensemble.

Et c'est avec une sereine économie de moyens qu'il assume cette ambition et réussit, grâce à un travail de casting, de cadres et de lumières particulièrement précis, à atteindre son but, c'est-à-dire à graver en nous des images durablement lumineuses, "de foi et d'espérance", oserait-on dire si on ne devait hésiter à employer un vocabulaire à ce point connoté et suranné –mais que le réalisateur ne renierait peut-être pas, lui qui place l'utopie au centre de ses préoccupations et choisit un jeune moine au verbe aisé comme porte parole. C'est ce dernier, confronté à l'Histoire (plus précisément la révolution de 1789), qui va se transformer au fil des événements, son parcours interrogeant les engagements mis à l'épreuve du réel et des évidences du désir.

On n'est pas sans penser à Pasolini, comme inspirateur d'un cinéma humaniste à la fois intemporel et contemporain, distancié et direct, sophistiqué et épuré, spirituel autant que charnel.

Jean-Louis Gonnet

 - 

Cinéaste


Philippe Fernandez

 - 

Cinéaste


Paroles de cinéastes

Film historique = film de science-fiction ? - L'ACID POP à distance #5

Le 20 avril


Pour cette cinquième semaine de confinement, nous continuons bien entendu de concocter pour vous deux newsletters par semaine, afin de partager des films ACID en VOD, des textes de cinéastes de l'Association, des captations de rencontres... Bref, histoire de faire vivre le cinéma que nous défendons.


Aujourd'hui, parcourez avec nous le catalogue de l'ACID POP, notre université populaire lancée en 2018. Avec un focus sur la séance du 18 mars 2019 au mk2 quai de Seine à Paris, autour de la question « IL N'Y A PAS DE DIFFERENCE ENTRE UN FILM HISTORIQUE ET UN FILM DE SCIENCE-FICTION », la projection de UN VIOLENT DÉSIR DE BONHEUR de Clément Schneider, et les cinéastes de l'ACID Clément Schneider & Vladimir Perisic.

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  • Il n'y a pas de différence entre un film historique et un film de science-fiction

On serait tenté de croire qu'au cinéma, tandis qu'on imagine le futur, on cherche à fidèlement reproduire le passé. Pourtant dans un film historique comme dans un film de science-fiction, l'imaginaire se met au travail du réel pour fabriquer une image du monde, utopique ou non. Par le détour de la fiction, il produit des vérités, brûlantes, contemporaines parce que finalement inactuelles. En définitive, le cinéma ne se doit-il pas de réécrire l'histoire ?

« Posée comme une matière plastique, l'Histoire est un espace à fouiller, à creuser, dans lequel la fiction est à l'œuvre.  » Clément Schneider

Extraits projetés :

  • Non, ou la vaine gloire de commander, Manoel de Oliveira (1990)
  • New-York 1997, John Carpenter (1981)
  • Du soleil pour les gueux, Alain Giraudie (2001)

> Contenu détaillé à retrouver ici ; ainsi que sur les sites de nos partenaires France Culture et Mediapart <


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Article

A propos de UN VIOLENT DÉSIR DE BONHEUR

Découvrir un premier long-métrage, c'est toujours une excitation, un pas vers l'inconnu, la possibilité d'une belle découverte. De celles qui restent en mémoire et qui nous questionnent longuement après que la lumière se soit rallumée et que le temps soit passé. C'est le cas avec Un Violent désir de bonheur. Si Un Violent désir de bonheur est un film d'époque, il ne faut pas chercher son intérêt dans de grandes parades en uniformes et des reconstitutions en effets spéciaux numériques. Car le travail de recomposition est ailleurs : dans le hors-champ (magie du cinéma qui permet aux spectateurs un imaginaire infini !), dans le choix des décors, des paysages et des comédiens.

Dès le début du film priment la qualité d'écriture du scénario et l'attention portée aux dialogues. Clément Schneider aime les acteurs, il les filme avec justesse et l'on sent toute l'admiration qu'il a pour eux. En cela, son travail s'assimile à celui de Robert Bresson et d'Eric Rohmer – pour le ton des acteurs justement, mais aussi pour ces plans fixes travaillés comme des tableaux et cette écriture cinématographique très littéraire.

Mais si la filiation est vraie, Clément Schneider y ajoute une distance représentée par exemple par les choix musicaux décalés du temps présent dans le film – du rock des années 70 – qui porteront le récit des aventures de Gabriel. Gabriel est un personnage révolutionnaire à sa manière, qui change de costume pour se découvrir. D'abord moine, sûrement plus par nécessité que par foi ; puis soldat révolutionnaire afin de sauver les arbres du monastère qu'il aime tant, et finalement dénudé pour la découverte de l'amour avec Marianne. Et cette jeune femme noire, si silencieuse dans ce film si écrit, est un des personnages marquants du film. C'est elle qui va déclencher la vraie révolution chez Gabriel, la révolution du désir et de l'amour.

Merci à Clément Schneider d'aimer autant le cinéma et de savoir si bien partager cette passion.

Guillaume Bachy

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Programmateur


Le Palais Créteil
Paroles de programmateurs

A propos de UN VIOLENT DÉSIR DE BONHEUR

Dans un paysage de début du monde, au cœur d'un bel été, Gabriel le bien nommé, jeune moine au visage séraphique, dort dans les branches d'un olivier. Son chat tue un oiseau, des coups de fusil retentissent au loin. « Prépare-toi, le monde ancien tombe en ruine » lui dit son ami musicien des routes. Et c'est soudain l'irruption de la Révolution dans son monastère. Confrontation de deux mondes. Gabriel réquisitionné par les révolutionnaires pour sa parole belle juste et sans concessions va devenir François comme celui d'Assise dont on entend des Fioretti, puis rencontrer la belle Marianne, une jeune noire muette qui est pourtant celle dont la parole libre portera à la fin du film ce violent désir de bonheur d'une jeunesse en quête d'un nouvel idéal.

Ce premier film dans sa forme épurée, sa simplicité picturale et sa fraîcheur lyrique nous offre sous la forme d'une parabole une représentation réjouissante des révolutions d'aujourd'hui, même s'il se passe au 18ème siècle.

Sans éluder les horreurs de la guerre, il convoque la beauté possible d'un monde nouveau, en croyant au pouvoir des images qui portent parfois en elle l'humilité radieuse des fresques de Giotto. La parole et les actes de Gabriel s'inspirent tout autant du Cantiques des Cantiques que de L'Esprit de l'utopie d'Ernst Bloch écrit pendant la première guerre mondiale. On sent chez Clément Schneider cette même révolte mêlée d'espérance qu'il déploie en nous offrant un film jeune, libre, à la fois littéraire modeste et lyrique, ponctué de chansons aussi puissantes que celles de Patti Smith, de Marianne Faithfull ou des Last Poets : When the Revolution Comes...

Agnès De Graaff


Paroles de spectateurs

Comfortably Numb ? - News #3

DES PROPOSITIONS VOD POUR GARDER LA FORME

KISS & CRY de Chloé Mathieu et Lila Pinell


Sarah, 15 ans, reprend le patin de haut niveau au club de Colmar, sans trop savoir si elle le fait pour elle ou pour sa mère. Elle retrouve la rivalité entre filles, la tyrannie de l'entraineur, la violence de la compétition. Tandis que son corps est mis à l'épreuve de la glace, ses désirs adolescents la détournent de ses ambitions sportives…


Programmé à l'ACID Cannes 2017 puis soutenu à sa sortie  - Les options VOD


BOXING GYM de Frederick Wiseman


Austin, Texas. Richard Lord, ancien boxeur professionnel, a fondé son club de boxe Lord's Gym, il y a seize ans. Des personnes d'origines et de classes sociales et d'âge différents s'entraînent dans ce gymnase : hommes, femmes, enfants, docteurs, avocats, juges, hommes et femmes d'affaires, immigrants, boxeurs professionnels ou aspirants professionnels côtoient de simples amateurs et des adolescent en quête de force et d'assurance. Le gymnase est une illustration du "melting pot" à l'américaine où les gens s'entraînent, se parlent, se rencontrent...


Soutenu par l'ACID en 2011 - A regarder en VOD ici


UN PEU DE LECTURE...


« J'ai toujours trouvé que l'essence du cinéma - son bouleversement le plus profond - résidait dans cette faculté troublante à ressusciter les morts, à battre en brèche l'inexorable avancée de la mort : Vertigo, Allemagne année zéro, Pierrot le fou, Mouchette, etc... J'en sors chaque fois brassé et gorgé d'un désir absolu de vivre. »

« Haut les cœurs ! est de ces films menant ce combat surhumain et inégal : un film comme un cri de vie, un hurlement, un éclat de rire formidable jeté à la face de la mort. Et cette guerre, terrible, se joue dans le corps d'une femme qui va enfanter la vie... incarnée par l'immense comédienne qu'est Karin Viard qui (jamais sans doute depuis Emmène-moi) n'a été aussi belle et poignante dans sa maturité. Ce qui est superbe c'est que Solveig Anspach a filmé cette histoire avec un tact, une retenue, une distance qui est la marque des plus grands : l'absolue simplicité des cadres, le velouté de la lumière, la limpidité de la mise en scène, sa sensualité, cet art de suggérer sans jamais rien expliquer, tout chez elle refuse le pathos et capte la violence de cette bataille avec une douceur, un humour, un amour des êtres et de la vie qui vous laisse pantelant. Un film tendre et cruel, déchirant et drôle, solide et insolite, tragique et fou d'espoir, où l'on rit et l'on pleure, beau comme tout : beau comme la vie. »


Le cinéaste de l'ACID Jean-Pierre Thorn à propos de HAUT LES COEURS ! de Solveig Anspach



> Lire l'intégralité du texte ici <


...ET DE LA MUSIQUE

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Morceau entendu dans UN VIOLENT DÉSIR DE BONHEUR de Clément Schneider


Et pour celles et ceux qui sont plutôt team podcasts ; on vous propose de réécouter les cinéastes Alice Odiot et Jean-Robert Viallet dans La grande table, l'émission d'Olivia Gesbert sur France Culture : « QUE RESTE-T-IL DE L'HUMANITÉ EN PRISON ? »


ET POUR FINIR, LE PLEIN D'AUTRES PROPOSITIONS CINÉPHILES

  • Il est encore possible de voir les films de Cinéma du Réel sur Tënk (ici), et on pourra bientôt y retrouver de nombreux autres festivals.

  • Des cinémas partout en France se mobilisent pour conserver le lien avec leurs publics. Citons notamment Cinémas 93, les Ecrans de Paris, le cinéma Jacques Tati de Saint-Nazaire, La Baleine depuis chez soi, le journal de bord de l'Utopia Avignon, etc...

    Quant au Lux (Scène Nationale - Valence), il anime une vidéothèque avec le CNC: transmettrelecinema ; afin d'inviter les enfants, adolescents et familles à parcourir quelques chemins en cinéma et s'y ressourcer.

  • A lire sur le site des Fiches du Cinéma, des chroniques confinées de professionnel(le)s du cinéma - citons notamment celle de la cinéaste de l'ACID Marie Vermillard, à lire ici et à regarder là.

  • Comment voir des docs pendant le confinement ? Ouf, la Cinémathèque du documentaire y a pensé et y répond ici.

  • "Intérieur court" : L'équipe de Sauve qui peut le court-métrage (Clermont) a concocté 4 programmes thématiques de courts en direct, les jeudis et dimanches à 18h, et ça commence ce soir !

    Et toujours côté court, les 'classiques' d'Autour de minuit sont en accès libre ici.

  • Chic, Carlotta Films lance sa plateforme VOD.

  • Chaque semaine, la société de production Les Films du Jeudi partage gratuitement un film de leur catalogue. Ce jeudi : La Direction d'acteur par Jean Renoir. A suivre sur leur page Facebook.

  • UniFrance propose une édition "Stay Home" de MyFrenchFilmFestival aux internautes du monde entier. Jusqu'au 27 avril.

  • Et l'article pour finir : Soutien automatique, sortie VàD, auteurs : le CNC adopte 3 mesures d'urgence. A lire gratuitement sur Le Film Français.

Vous aussi, vous avez terriblement envie de danser ?
(photo tirée de SI C'ETAIT DE L'AMOUR, Patric Chiha - Soutenu par l'ACID début 2020)

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Chaque jeudi en ce temps de confinement, recevez dans votre boîte aux lettres les nouvelles propositions de l'ACID !

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Article

A propos de UN VIOLENT DÉSIR DE BONHEUR

1792, en pleine nature. Le vent d'une révolution naissante souffle dans l'Eden d'un couvent occupé par les troupes. 

Comment, en 2018, filmer les insurrections sans choisir le modèle de la reconstitution, voire du documentaire ?

Cette question est actuelle et questionne les genres et talents cinématographiques.

Mais à cette époque, l'image était déjà représentée et les colporteurs, magiciens d'optique, en faisaient leur propre diffusion, sillonnant les chemins, embardés sur leur dos de matériel pesant, captant le peuple soumis pour une intelligence, un imaginaire confondus. La révolution s'est acheminée ainsi, en dehors de Paris.

Un Violent désir de bonheur est dans l'esprit de cette époque là. 

Le réalisateur Clément Schneider a choisi un cadre propice à la puissance du hors-champ : le 1:1,33, format carré. Ellipse et hors-champ sont unis dans leur intrication.

La religion, la royauté, l'armée, le peuple révolutionnaire sont convoqués dans cet Eden monastique, espace de nature où il faut bien continuer de drainer l'eau, cultiver les oliviers. Le moine Gabriel, courageux de parole, quittant son habit pour revêtir celui de l'armée occupante découvre le désir, charnel, amoureux. Sa Marianne est noire, mutique et parlante dans un magnifique travelling final.

Filmer la (les) révolution (s) n'est pas un exercice facile. On se souvient dans cette même veine de Toutes les nuits d'Eugène Green – 2001. Version baroque où mai 68 en province est filmé en esthétique minimaliste. Puis Philippe Garrel : Les Amants réguliers retour à l'époque de 1969, versant mélancolique, en noir et blanc. L'amour dans l'insurrection, l'opium et les barricades, en plein sang.

Un Violent désir de bonheur est un film moderne qui traverse les temps, les espaces, la question politique, esthétique. Le cinéma devient vivant, sensuel, et musical ; saluons Marianne Faithfull et Patti Smith au passage.

Martine Boiteau


Paroles de spectateurs

L'ACID lance son université populaire, l'ACID POP !

L'ACID lance son université populaire, l'ACID POP

Le cinéma par ceux qui le font !


L'ACID est une association composée de cinéastes. Si elle réunit une immense diversité de regards, elle se caractérise par des approches voisines du travail cinématographique, des façonnages singuliers, souvent artisanaux, pour lesquels ces filmmakers sont sur tous les fronts.

Qu'est ce qui nourrit l'inspiration des cinéastes ? Comment au quotidien – de l'écriture au tournage – fabriquent-ils leurs films – qu'ils soient fiction ou documentaire ? Comment les mettent-ils en scène ? Comment travaillent-ils avec leurs acteurs ou leurs protagonistes ? 

Ce sont ces expériences de fabrication que les cinéastes viendront mettre en partage avec les publics.


Comme dans une université populaire, il s'agit d'une saison se déroulant tout au long de l'année, imaginée avec des salles adhérentes ACID. Chaque séance est construite autour d'un film choisi par les cinéastes de l'ACID et se déroule en trois temps : 

1. Dialogue autour d'une question de cinéma traversant le film

2. Projection du film

3. Echange avec le public.


L'ACID POP débute en novembre 2018 dans 7 salles pilotes sur un rythme mensuel, jusqu'en juin 2019. La première séance aura lieu le lundi 12 novembre à 20h au MK2 Quai de Seine.


> Pour accéder au programme complet, cliquez ici <


La saison pilote ACID POP 2018 - 2019

  • Cinéma américain : reste-t-il encore des artisans ? Avec Thunder Road de Jim Cummings
  • Personnes et personnages : et si on plongeait les acteurs dans le réel ? Avec Il se passe quelque chose de Anne Alix
  • Filmer les sentiments : romantisme ou réalisme, faut-il vraiment choisir ? Avec L'Amour debout de Michaël Dacheux 
  • Créer en liberté : comment perdre son scénario pour mieux le retrouver ? Avec Avant l'aurore de Nathan Nicholovitch
  • Il n'y a pas de différence entre un film historique et un film de science-fiction - Avec Un Violent désir de bonheur de Clément Schneider 
  • « Documentaire », vraiment ?! Filmeurs et filmés, n'est-on jamais que des inventeurs de récits ? Avec Of Men and War [Des hommes et de la guerre] de Laurent Bécue-Renard 
  • Entre captation et recréation du réel : où est la mise en scène dans le cinéma documentaire ? Avec Spartacus & Cassandra de Ioanis Nuguet 
  • De l'art du portrait au cinéma : un corps à corps ? Avec Cassandro the Exotico! de Marie Losier
  • Filmer l'autre : trouver la bonne distance - Avec Dans la terrible jungle de Caroline Capelle et Ombline Ley

> Les premières dates ici <


Les salles adhérentes partenaires :

  • L'Atalante, Bayonne ( (Pyrénées-Atlantiques, Nouvelle-Aquitaine) - Programme documentaire 
  • Le Bretagne, Saint-Renan (Finistère - Bretagne) 
  • Le Cigalon - Cucuron (Vaucluse - PACA)
  • Le Cin'Hoche, Bagnolet (Seine-Saint-Denis - IDF) 
  • Le Kursaal, Besançon (Doubs - Bourgogne-Franche-Comté) 
  • Le Méliès, Villeneuve d'Ascq (Nord - Hauts de France) 
  • Le MK2 Quai de Seine, Paris (IDF)
Actualité

L'ACID dévoile sa programmation pour l'ACID Cannes 2018 !

Cliquez ici pour télécharger l'agenda des séances / Click here to download the agenda


Pour sa 26ème édition, les cinéastes de l'ACID auront le plaisir de présenter à Cannes un programme de 9 longs métrages dont 8 premiers longs, qui seront présentés et accompagnés par les cinéastes de l'association et les équipes des films. 11 cinéastes accueillis à l'ACID, dont 7 femmes.

Ce programme est enrichi d'une séance spéciale « ACID Patrimoine », d'un focus sur le cinéma portugais, l'ACID TRIP #2 Portugal -- et d'une séance spéciale « sortie prochaine » de Mirinda, Avant l'aurore de Nathan Nicholovitch.


« Ausculter le monde, trouver au fond de soi le geste le plus juste pour en témoigner, le rejeter, puis l'aimer encore et à nouveau. Le filmer en réinventant sans cesse le regard. Saisir ses névroses carabinées comme sa folie douce, discerner la force vitale, résistante et libre des êtres comme la fragilité imprévisible de leur destin et la vanité de leurs ambitions, mais toujours célébrer quelque part leur délicate et éphémère beauté de vivants. Ainsi font les cinéastes qui ont frappé à notre porte cette année, riches de la variété de chacune de leurs propositions formelles et de chacun de leurs récits. »

Les cinéastes programmateurs 2018

Aurélia Barbet, Laurent Bécue-Renard, Karim Bensalah, Marie Dumora, Alice Fargier, Philippe Fernandez, Jean-Louis Gonnet, Ilan Klipper, Mathieu Lis, Chloé Mahieu, Vladimir Perisic, Lila Pinell, Idir Serghine, Pierre Vinour.


LA PROGRAMMATION ACID CANNES 2018 :


L'ACID TRIP#2 PORTUGAL :


LES SÉANCES SPÉCIALES : 


La 26e édition de l'ACID Cannes se tiendra du mercredi 9 au vendredi 18 mai 2018.

Retrouvez toutes les informations ici

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