Mode previewtemplate : film

Mickey and the Bear

Un film de Annabelle Attanasio

Mickey and the Bear

Un film de Annabelle Attanasio

États-Unis - 2019 - 89 min

Mickey Peck, une adolescente du Montana, a la lourde responsabilité de s'occuper de son père, un vétéran accro aux opiacés. Quand l'opportunité se présente de quitter pour de bon le foyer, elle fait face à un choix impossible...

Mickey Peck, headstrong teen from Montana, is faced with the responsibility to take care of her opioid-addicted veteran father. When she receives the opportunity to leave her home for good, she must make an impossible decision...

Avec :
Camila Morrone , James Badge Dale , Calvin Demba , Ben Rosenfield et Rebecca Henderson

Sorti le 22 juin 2020

Sortie non communiquée

À PROPOS DE MICKEY AND THE BEAR

Pour survivre, faut-il s'enfuir ? Creusant le sillon d'un cinéma indépendant américain soucieux de se confronter au réel, la jeune cinéaste Annabelle Attanasio met en récit le désir d'émancipation d'une adolescente. 

Situé au fin fond du Montana, ce premier long-métrage déploie une trajectoire qui multiplie les fausses pistes, sachant éviter, comme son héroïne, les écueils d'un parcours où tout serait joué d'avance. Porté par une mise en scène élégante et épurée, incarné par une comédienne fascinante, ce premier long-métrage questionne la place de la femme dans une société patriarcale. Les figures de la virilité sont ainsi mises à jour sans ostentation, mais avec un souci critique. Ici le stress post-traumatique du soldat, là les armes à feu ou encore la question de l'héritage familial. C'est face à toutes ces brutalités qu'on ne doit jamais abdiquer pour vivre sa vie, pour devenir l'auteur de son propre destin.

Savoir penser son époque sans être didactique, savoir subtilement mettre à nu la violence du monde sans en être fasciné et croire que par le romanesque tout peut être divulgué. Voici, sans doute, la force intime de ce film qui nous bouleverse.


Must one flee in order to survive? Furrowing the lands of a certain independent American cinema concerned with confronting reality, the young filmmaker Annabelle Attanasio tells a tale of a teenager's desire to emancipate. Set in the depths of Montana, this first feature film unravels a journey, which accumulates false leads while astutely avoiding, along with its heroine, the pitfalls of a path where all would be known from the onset. Carried by an elegant and pared down mise en scène, embodied by a fascinating actress, this first film questions the place given to women in a patriarchal society. Figures of virility are unveiled without ostentation, but from a critical standpoint. Here the PTSD in a soldier, there fire arms or even the question of a family inheritance. Faced with all these brutalities, one must never abdicate. To live one's life. To become the sole author of one's destiny.

Thinking the era without being didactic. Knowing how to uncover the violence of the world without succumbing to fascination. Believing that through the strength of fiction all can be imparted. There lies the intimate force of this film, which so overwhelms us.

Marta Bergman

 - 

Cinéaste


Hanna Ladoul

 - 

Cinéaste


Marco La Via

 - 

Cinéaste


Idir Serghine

 - 

Cinéaste


Paroles de cinéastes

MICKEY AND THE BEAR d'Annabelle Attanasio est le Coup de coeur des jeunes ACID - France Culture !

998 étudiants répartis dans toute la France ont visionné depuis chez eux en confinement, les 8 films issus des deux sélections :  le Coup de cœur ACID - France Culture (dans un corpus de films soutenus conjointement cette année) et le Prix Cinéma des étudiants.
Ils ont voté en ligne et se sont enthousiasmés pour deux films de réalisatrices : Mickey and the Bear d'Annabelle Attanasio et Atlantique de Mati Diop.


MICKEY AND THE BEAR était présenté à l'ACID Cannes 2019. Le film est sorti en salles en France le 12 février, distribué par Wayna Pitch. Il sortira en DVD le 16 juin et est disponible en VOD sur UniversCiné et Canal+.


> à lire également sur le site de France Culture <


Actualité

INVITATIONS AUX SPECTATEURS - MICKEY AND THE BEAR

Classicisme et territoire


La narration est une des caractéristiques historiques du cinéma américain : le soin apporté à l'écriture des personnages, à leurs interactions et aux relations de cause à effet qu'elles suggèrent apparaît central dans un art qui se donne pour point de départ de « raconter une histoire ». De ce point de vue, Mickey and the Bear se place dans cette lignée classique, cherchant moins à réinventer les formes de récit qu'à parfaire celles déjà existantes en les retravaillant dans de nouvelles géographies ou de nouveaux contextes. Car ce qui relie aussi le premier film d'Annabelle Attanasio à un autre pan du cinéma américain, plus contemporain, est aussi son rapport au territoire. En l'occurrence, le long-métrage s'installe dans la petite ville d'Anaconda, dans le Montana (Nord-Ouest des Etats-Unis), loin des grandes mégalopoles. Le film investit la plupart de ses lieux structurels et institutionnels (lycée, fête municipale, commissariat ou centre médical) et les travaille non pas comme un simple décor mais comme un tissu dans lequel la réalisatrice coud un à un chacun de ses personnages. La simplicité des figures que ces derniers convoquent (le père, la fille, la mère absente) joue ainsi en permanence sur les deux échelles du récit, à la fois ancré et universel. Mickey and the Bear puise son intensité dans cette dialectique et cette tension, jusqu'à la mettre en scène : la jeune héroïne semble enracinée dans cette petite ville enclavée sur laquelle se projette la relation d'amour-haine qui s'est installée avec son père. Annabelle Attanasio filme Anaconda comme on filmerait un piège qui s'est refermé sur ses habitants, les privant progressivement de rêver à un ailleurs. Elle reprend ainsi à son compte un thème qui servi de socle aussi bien aux grands mythes de l'ouest qu'au cinéma indépendant d'aujourd'hui, dans les traces par exemple de Jeff Nichols (Shotgun Stories) ou Chloé Zhao (Les Chansons que mes frères m'ont apprises).



Émancipation de l'héroïne, découverte d'une actrice


À partir de ce canevas, Mickey and the Bear construit donc un récit d'émancipation qui ne nie pas les violences symboliques et physiques qu'il charrie, qu'elles soient sociales (la dépression post-traumatique des anciens soldats, la précarisation des jeunes générations) ou sociétales (la description franche du comportement masculin oppressant). Au cœur de ces communautés surnommées « Rednecks » ou « White Trash », le film fait naître à l'écran une actrice dont c'est le premier rôle au cinéma. Le visage fermé mais très doux de Camila Morrone donne à son jeu un aspect ? souverain qui tranche avec l'âpreté de son environnement. Son calme envers et contre tout semble la maintenir à flot, face à la puérilité abusive de son petit ami, face à la toxicité et l'ambiguïté de son père ou face aux sermons de la docteure. Elle advient à l'écran en s'y imposant immédiatement, incontournable, masquant ses tourments en serrant les dents, sans jamais tomber dans un excès d'affèterie ou, au contraire, de nervosité ou de fureur. Cette apparition n'est pas sans rappeler celle de Jennifer Lawrence dans Winter's Bone de Debra Granik, dont la filiation avec Mickey and the Bear paraît évidente. C'est également dans ce jeu gracieux et qui ne cesse de contenir son caractère tempétueux que le premier film d'Annabelle Attanasio trouve une force originale.


Article

L'ACID et France Culture lancent le "Coup de coeur des jeunes"

Suite au partenariat initié en avril 2019, l'ACID et France Culture lancent cette année à Cannes un « Coup de cœur des jeunes ACID - France Culture », au côté du Prix France Culture Cinéma des étudiants. 

Trois films soutenus conjointement, et sortis en salles entre avril 2019 et mars 2020, seront soumis au vote des jurés jeunes : 

  • VIF-ARGENT de Stéphane Batut
  • NE CROYEZ SURTOUT PAS QUE JE HURLE de Frank Beauvais
  • MICKEY AND THE BEAR d'Annabelle Attanasio 

Ces trois longs métrages s'ajoutent aux cinq de la sélection du Prix France Culture Cinéma des Etudiants, soumis au vote du même jury.


APPEL À CANDIDATURE

Étudiants et fans de cinéma, testez votre sens critique et soutenez un film indépendant en intégrant le juré. Visionnez des films présélectionnés et soutenus par France Culture cette année, votez en ligne et décernez le prix à votre lauréat(e) !

1. CANDIDATURE

Pour intégrer le jury 2020, il faut obligatoirement être scolarisé dans un établissement d'enseignement supérieur et envoyer avant le 15 avril 2020 minuit, une critique sur le film de votre choix. Elle peut être sous forme écrite (1000 signes) audio ou vidéo (1 mn via un lien viméo, youtube, dailymotion….) et doit être déposée sur la plateforme en ligne dédiée ICI. Un mail de confirmation validera votre participation au jury 2020. 

2. VOTE

Début avril, le jury visionne les films et vote sur une plateforme en ligne avant le 15 mai 2020.

PRIX FRANCE CULTURE CINÉMA DES ETUDIANTS :

  • ATLANTIQUE de Mati Diop
  • TU MÉRITES UN AMOUR d'Hafsia Herzi
  • HISTOIRE D'UN REGARD de Mariana Otero
  • TROIS ÉTÉS de Sandra Kogut
  • MIGNONNES de Maïmouna Doucouré

COUP DE COEUR ACID-FRANCE CULTURE :

  • VIF-ARGENT de Stéphane Batut
  • NE CROYEZ SURTOUT PAS QUE JE HURLE de Frank Beauvais
  • MICKEY AND THE BEAR d'Annabelle Attanasio  

3. REMISE DU COUP DE COEUR

Le Coup de cœur ACID - France Culture sera remis pendant le Festival de Cannes 2020, au même moment que le Prix France Culture Cinéma des Étudiants et le Prix France Culture Cinéma Consécration.

Si le Festival n'a pas lieu, nous vous indiquerons les conditions et le lieu de la nouvelle remise de Prix.


> Toutes les informations concernant le Coup de coeur et les prix France Culture sont à retrouver sur la page Facebook @PrixFCCE <

> Par ici pour + d'informations sur l'ACID Cannes <

Actualité

Retour au cinéma : les (re)sorties ACID !

Enfin ! Plus qu'une semaine avant la réouverture des cinémas !

Vous pourrez y découvrir plusieurs films ACID dont la vie en salles avait été abrégée - si ce n'est quasi empêchée - par l'épidémie de Covid-19.

AU CINÉMA DÈS LE 22 JUIN :

SI C'ÉTAIT DE L'AMOUR de Patric Chiha

En salles dès le 22 juin


Ils sont quinze jeunes danseurs, d'origines et d'horizons divers. Ils sont en tournée pour danser Crowd, une pièce de Gisèle Vienne sur les raves des années 90. En les suivant de théâtre en théâtre, Si c'était de l'amour documente leur travail et leurs étranges et intimes relations. Car les frontières se troublent. La scène a l'air de contaminer la vie – à moins que ce ne soit l'inverse. De documentaire sur la danse, le film se fait alors voyage troublant à travers nos nuits, nos fêtes, nos amours.


KONGO de Hadrien La Vapeur & Corto Vaclav

En salles dès le 22 juin


À Brazzaville, un monde invisible régit le monde visible. L'apôtre Médard se démène pour guérir les malades victimes de mauvais sorts. Mais sa vie bascule lorsqu'on l'accuse publiquement de pratiquer la magie noire.


MICKEY AND THE BEAR de Annabelle Attanasio

En salles dès le 22 juin


Mickey Peck, une adolescente du Montana, a la lourde responsabilité de s'occuper de son père, un vétéran accro aux opiacés. Quand l'opportunité se présente de quitter pour de bon le foyer, elle fait face à un choix impossible...

ET BIENtôt...

EVA EN AOÛT de Jonás Trueba

En salles le 5 août


Eva, 33 ans, décide de rester à Madrid pour le mois d'août, tandis que ses amis sont partis en vacances. Les jours s'écoulent dans une torpeur madrilène festive et joyeuse et sont autant d'opportunités de rencontres pour la jeune femme.


143, RUE DU DÉSERT de Hassen Ferhani

En salles le 16 décembre


En plein désert algérien, dans son relais, une femme écrit son histoire. Elle accueille, pour une cigarette, un café ou des œufs, des routiers, des êtres en errance et des rêves... Elle s'appelle Malika.

Article

À propos de Mickey and the Bear

Plus encore que l'histoire d'un amour, c'est celle d'une émancipation, une ode à la liberté.

The Bear, « L'Ours », c'est cet être bourru et sauvage qui sert à Mickey de père, du moins quand il n'est pas bourré ou défoncé par les médocs, les opiacés. Rude prix à payer pour cet écorché vif qui ne cesse de fuir les sourdes séquelles d'un passé cauchemardesque.  Hank est un vétéran. De quelle guerre ? Qu'importe ! Aucune n'est propre. James Badge Dale, qui incarne le personnage, excelle à le rendre aussi détestable qu'attachant.

À l'ombre de cette existence, qui tient plus de la survie que de la vie véritable, Mickey a grandi, avec la détermination farouche d'une plante adventice qui impose sa calme présence resplendissante (Camila Morrone, dans le rôle, est d'une grâce folle, à tomber !). Entre éclats de rires, éclats de voix, larmes et gestes de tendresses, elle s'est habituée à endosser le rôle d'adulte délaissé par l'homme de la maisonnée, pour lequel elle joue les anges gardiens.

Dans cette relation terriblement bancale, où père et fille sont tout l'un pour l'autre, une affection complice fuse, troublée par la culpabilité. Que deviendrait Hank sans sa rejetonne, alliée inconditionnelle, ultime lien avec la réalité d'un monde qui progressivement l'abandonne ? 

Épatant premier film, plein de pudeur et d'empathie. La réalisatrice nous invite avec subtilité à aimer ce qui n'est pas aimable, propulsés que nous sommes dans le maelström de sentiments qui happent son héroïne vers une nasse mortifère. Mais ce qui prédomine, c'est cette force vitale viscérale, vivifiante, qui emporte tout sur son passage, laissant derrière elle une impression lumineuse qui persistera longtemps. Preuve que le cinéma indépendant américain est bien vivant.


Anne Faucon

 - 

Programmatrice


Utopia Pont-Sainte-Marie
Paroles de programmateurs

À propos de Mickey and the Bear

La relation père-fille, fusionnelle et électrique, est portée par un jeu d'acteurs très juste, qui donne un ton anxiogène au film. Mickey and the Bear est aussi un film touchant et esthétique. Très belle surprise et coup de cœur de la dernière sélection ACID !


Clément Caradec, Jeune Ambassadeur ACID

Ce film à l'esthétisme travaillé dans un contexte sombre nous a directement attiré lors de son passage à Cannes. C'est une œuvre qui nous aspire et nous confronte à un choix décisif du personnage de Mickey. Prendre la fuite pour vivre sa vie, ou tenter de survivre auprès d'un homme dangereux pour elle? C'est une question qui s'attache d'ailleurs directement à notre actualité... Violence subtile et sourde, mise en scène épurée, questionnement sur la place de la femme dans la société américaine, ce film a de quoi bouleverser et faire réfléchir. C'est un beau premier film pour la réalisatrice de 26 ans qui aurait vécu ce désir d'émancipation.


Salim Hamzaoui, Jeune Ambassadeur ACID

Mickey and the Bear est un film esthétique qui montre le côté disgracieux de l'Amérique au travers de l'actrice Camila Morrone pour son premier rôle principal. Émouvant, inquiétant mais surtout poignant, ce film remplit complétement sa fonction qui est de susciter nos émotions.


Hugo Sauvanaud, Jeune Ambassadeur ACID

Mickey, c'est la fille ultra-responsable pour compenser l'incapable The Bear, un père ravagé par son stress post-traumatique. Mickey and the Bear évoque un délicieux mélange entre l'émotivité de Leave no trace (en mieux), l'épopée intérieure et féminine de Take me somewhere nice et une belle critique de l'Amérique profonde. Le premier rôle de Camila Morrone s'ancre comme un rôle dramatique important qu'elle incarne avec intelligence et grand coeur. Si vous dire que Leonardo DiCaprio est allé voir le film à Cannes ne suffit pas à éveiller votre curiosité, on ne peut rien faire pour vous.

Un moment doux-amer, un portrait fille-père qui vise juste, un conte irrésistible sur l'émancipation. Attention pépite !


Justine Vignal, Jeune Ambassadrice ACID

Paroles de spectateurs

Sortie au cinéma - Mickey and the Bear

MICKEY AND THE BEAR d'Annabelle Attanasio sort en salles le 12 février chez Wayna Pitch. Le film avait été présenté à l'ACID Cannes 2019.

Actualité

L'ACID dévoile sa programmation pour l'ACID Cannes 2019 !

Les cinéastes de l'ACID auront le plaisir de présenter à Cannes un programme de 9 longs-métrages dont 7 premiers longs, en présence des équipes de films et de leurs marraines et parrains de l'ACID. Sur les 5 fictions et 4 films documentaires présentés, 4 ont été réalisés ou co-réalisés par des femmes.

Ce programme est enrichi d'un focus sur le cinéma argentin, l'ACID TRIP #3 Argentine, en partenariat avec l'association de cinéastes PCI. 


« Face aux changements profonds du monde, la programmation 2019 fait la part belle aux lignes de fuite, à ces chemins par lesquels se construisent des destins, où les corps plutôt que de disparaitre ou se soumettre affirment leur présence comme point de départ d'une résistance à organiser. 

Récits fantastiques, fables émancipatrices, réalisme documentaire ? Le cinéma dont nous nous nourrissons se joue des catégories, articule des alliages esthétiques inédits ou revisités. Les personnages transcendent moins leur destin pour tendre à l'universel qu'ils ne l'incarnent dans leur singularité, leur intensité, nous offrant ainsi un accès privilégié à ce qui nous est étranger. Curieux paradoxe ? Bien plutôt le moyen, pour nous cinéastes, de mettre encore et encore le monde en partage. »

Les cinéastes programmateurs 2019

Sylvie Ballyot, Aurélia Barbet, Marta Bergman, Michaël Dacheux, Marina Déak, Delphine Deloget, Jean-Louis Gonnet, Diego Governatori, Hanna Ladoul, Marco La Via, Vladimir Perišić, Clément Schneider, Idir Serghine, Christian Sonderegger, Laure Vermeersch.


LA PROGRAMMATION ACID CANNES 2019 :


L'ACID TRIP#3 ARGENTINE :


La 27e édition de l'ACID Cannes se tiendra du mercredi 15 au vendredi 24 mai 2019.

> Retrouvez toutes les informations ici <


ACID filmmakers are thrilled to present this year in Cannes, a program of 9 feature-length films of which 7 are first time features. Films will be shown in the presence of the film crews and of their supporting filmmakers from ACID.

5 fictions and 4 documentaries, 4 of which were directed or codirected by women.

This program is enhanced by a focus on Argentinian cinema, ACID TRIP#3ARGENTINE, in partnership with Argentinian filmmakers of the PCI.


« As the world faces deep changes, this 2019 ACID program honors vanishing points and celebrates paths with which destinies are built, where bodies instead of disappearing or submitting, assert their presence, as a starting point for organized resistance.

Tales of fantasy, emancipatory fables, documentary realism? The cinema on which we thrive defies categories, articulates unseen or forgotten esthetical blends. Characters do not so much transcend their destiny to reach for the universal, rather they embody their destiny within their singularity and intensity. Granting us privileged access to what is strange, foreign. A curious paradox? Rather the means for us filmmakers, forever and again, to share the world. »

Programmers filmmakers 2019

Sylvie Ballyot, Aurélia Barbet, Marta Bergman, Michaël Dacheux, Marina Déak, Delphine Deloget, Jean-Louis Gonnet, Diego Governatori, Hanna Ladoul, Marco La Via, Vladimir Perišić, Clément Schneider, Idir Serghine, Christian Sonderegger, Laure Vermeersch.



Article

Reprises ACID Cannes 2019

À la rentrée, retrouvez l'ensemble de la programmation ACID Cannes 2019 en France et à l'International !

> En savoir plus ici

Actualité

Découvrez les films de l'ACID Cannes !

L'ACID est de retour de Cannes où la programmation de 9 long-métrages et d'un focus ACID TRIP #3 Argentine a connu un grand succès à la fois critique, professionnel et public avec une augmentation de fréquentation de 10%.

Merci à toutes les équipes de films et aux acteurs précieux de cette chaîne solidaire : cinéastes, spectateurs, producteurs, exploitants, distributeurs, vendeurs et partenaires, qui permettent aux films sans distributeurs de trouver le chemin des salles.

Ainsi,

Rêves de jeunesse sortira chez Shellac le 31 juillet

• Vif-Argent chez les Films du Losange le 28 août

L'Angle Mort chez Rouge le 16 octobre

Des Hommes chez Rezo

Indianara chez New Story

Kongo chez Pyramide

Et d'autres nouvelles à venir.


En attendant les sorties, les films débutent leur carrière dans les festivals du monde entier dès le mois de juin, à commencer par le Festival de La Rochelle, le Festival du Film de Cabourg, le Champs-Elysées Film Festival

Nous vous donnons également rendez-vous pour les reprises de l'intégralité de la programmation ACID Cannes 2019 : à Paris au Louxor du 13 au 15 sept., à Lyon au Comoedia & à Marseille (La Baleine / Gyptis) du 4 au 6 oct., à Ajaccio à l'Ellipse du 11 au 13 oct., et à l'international : Tanger, Belgrade, Lisbonne, Porto...


Au plaisir de vous y retrouver !

Édito
Vidéo
soutien

Recherche

Gestion des cookies

En poursuivant sur ce site vous acceptez l’utilisation de cookies, qui servent à vous proposer une meilleure expérience de navigation (vidéos, photos, cartes interactives).

Tout refuser